Coline Bardin, "La Mâtrue – Adieu à la ferme"

Dans le cadre de la semaine de la ruralité.
Équipée d’un tabouret de traite et d’une glacière remplie de souvenirs, Coline Bardin se livre à un drôle de pique-nique, dont tous les invités appartiennent au passé.
Coline Bardin est la «mâtrue», la benjamine d’un couple d’éleveurs. Un jour, ses parents lui apprennent qu’ils vont vendre leur exploitation. C’est un choc, que seul le théâtre permettra de transcender. Avec amour, humour et lucidité, Coline Bardin s’empare de la scène à la première personne du singulier pour évoquer le milieu dont elle est issue et qui la constitue: le milieu agricole. En salopette verte et bottes de caoutchouc, elle convoque ses souvenirs qui s’incarnent en une galerie de personnages hauts en couleur. Des êtres passionnés, passionnants mais fatigués, qui disent la noblesse du métier et ne taisent rien de sa rudesse.
Coline Bardin évoque un monde qui disparaît, rude certes, mais qui créait du lien. Un portrait drôle et sensible, une histoire personnelle où résonnent évidemment les bruissements d’un monde plus grand.
«La Mâtrue - Adieu à la ferme», Théâtre l’Orangerie - Genève - du 27 juillet au 4 août 2023
Coline Bardin est l’invitée de Francesco Biamonte

Le ministère de l’intérieur interdit à la vente aux moins de 18 ans un roman qui leur était destiné, Bien trop petit, de Manu Causse pour pornographie, des librairies en ligne préfèrent le retirer tout à fait de la vente.
Des haut-placés de l’Etat indien s’indignent de ce qu’une citation d’un texte sacré hindou soit prononcée sur l’oreiller dans une scène du film Oppenheimer de Christopher Nolan.
Mick Jagger fête demain ses 80 ans, on ne sait plus quoi dire depuis le temps qu’on répète qu’il est inoxydable.

Un mot qui claque, une mélodie qui reste dans l’oreille et un instant, merveilleux, parfois saisi au vol. Pour écrire une bonne chanson, il faut de l’inspiration, un peu de chance et beaucoup de travail ! Afin de vous aider à composer un titre inoubliable, Anya Leveillé a rencontré cinq artistes de Suisse romande et d’ailleurs qui dévoilent leurs recettes d’écriture.
Aujourd’hui, Alizé Oswald et Xavier Michel du duo Aliose, racontent ces premiers « riffs » de guitare sur lesquels se posent, ensuite, les mots d’une chanson.

Le groupe de Kinshasa Fulu Miziki, dont le nom se traduit par Musique des Poubelles, seront en concert au Castrum festival d’Yverdon le 12 aout prochain. Michel Ndeze les a rencontrés au Paléo Festival.