Séquence de l'émission du 23 février 2016
De plus en plus de hotspots sont disponibles en Suisse romande. [georgejmclittle - fotolia]
georgejmclittle - fotolia

Wifi public: risques et sécurité

NEMO vient de naître à Neuchâtel et à la Chaux-de-Fonds. Cette connexion wifi permet aux habitants et aux touristes de surfer sur internet gratuitement et vient allonger la liste des hotspots disponibles en Suisse romande. Mais y a-t-il plus de risques à se connecter à un wifi gratuit qu'en utilisant sa connexion privée? Quels risques encoure-t-on? Et comment s’en prémunir?

Sacha Horovitz recueille les réponses de Paul Such, fondateur de SCRT à Préverenges, société spécialisée dans la sécurité informatique.
Séquence de l'émission du 23 février 2016
Aurélie dans son atelier "Fil Etik". [Pauline Seiterle - RTS]
Pauline Seiterle - RTS

Sur mesure (2/4)

Toute cette semaine, Pauline Seiterle emmène à la rencontre de quatre personnalités qui travaillent "sur mesure" pour réaliser des vêtements personnalisés et à contrecourant.

Tissus éthique et écolo: Lorsqu’on fait appel à un tailleur pour se faire confectionner un vêtement de A à Z, on devrait pouvoir maîtriser les conditions de fabrications du costume et la provenance des étoffes. Ce n’est pourtant rarement le cas. Une jeune passionnée de couture vient de lancer une boutique en ligne qui ne propose que des tissus bio et éthyque. Aurélie Stezycki de Fil Etik nous explique sa démarche.

A l’orée du 3ème millénaire, on commande ses vêtements sur des boutiques en ligne et on s’habille "fast fashion" chez les mêmes géants de l’industrie textile aux quatre coins de la planète. Mais en parallèle de cette internationalisation de la mode, les tailleurs et couturières de proximité ont un rôle à jouer pour les consomm’acteurs qui désirent des vêtements chics, éthiques et sur mesure.

Séquence de l'émission du 23 février 2016
Yoann Provenzano, humoriste. [Corthésy Productions]
Corthésy Productions

"Youtubeur, facebookeur", l'élan digital

Yoann Provenzano, Vaudois de 24 ans, a la langue bien pendue. Humoriste 2.0, il utilise les réseaux sociaux comme tremplin pour les vraies salles. Il est ce quʹon appelle un "Youtubeur" voire un "Facebookeur". Cʹest sur cette plateforme que lʹon trouve lʹessentiel de ses courtes vidéos déjantées qui recueillent des milliers de "likes".

Pour analyser cette tendance, "On en parle" reçoit Damien Van Achter, spécialiste nouveaux médias et professeur invité à l’école de journalisme et communication de Bruxelles (IHECS). Par Pauline Vrolixs.
Émission du 23 février 2016

On en parle du 23.02.2016