Contre paiement, des services en ligne proposent d’espionner des smartphones à distance. Comment cela fonctionne-t-il et est-ce vraiment légal? Notre journaliste Didier Bonvin a testé un de ces services espion en piratant son propre téléphone. Steven Meyer, expert en cybersécurité, explique comment une victime d’espionnage peut réagir.

Depuis le 22 janvier 2019, quelque 400 boulangeries et confiseries suisses remettent des porte-gobelets tricotés à la main à l’achat d’un café à l’emporter. Il s’agit de la campagne #perso, avec Pro Senectute et Alzheimer Suisse. Leur objectif est d’attirer l’attention sur la démence et les conséquences au quotidien de cette maladie qui concerne 151'000 personnes en Suisse. Jérôme Zimmermann reçoit Alain Huber, secrétaire romand de Pro Senectute.

Selon notre enquête, pour installer une application bancaire suisse sur son téléphone portable, il faut accepter en moyenne douze autorisations d’accès envoyées par le développeur (accès à la caméra, au vibreur, à la liste des contacts, au déverrouillage de l’écran, etc.). Pourquoi le consommateur n’a-t-il souvent pas d’autre choix que de valider ces demandes d’accès? La réponse de Yannick Dürst, fondateur et directeur de l’entreprise genevoise Atipik, conceptrice d’applications, au micro de Xavier Bloch.

Elle est de retour jusqu’à fin janvier 2019 : la roue de la fortune permet aux clients de Migros de scanner leur ticket de caisse pour gagner des bons cadeaux d’une valeur jusqu’à 1'000 francs. Les enfants et adolescents s’y pressent… alors que les conditions générales indiquent que le jeu est interdit aux moins de 18 ans! Tristan Cerf, porte-parole de la Migros, s’explique au micro d’Isabelle Fiaux.