L’anorexie et la boulimie, tout le monde sait ce que c'est. En résumé: l’anorexique refuse de s’alimenter et la personne boulimique engloutit tout ce qu’elle peut avant de se faire vomir. Ces comportements peuvent avoir des conséquences importantes sur la santé des personnes, à tel point que certaines en meurent.

Les troubles alimentaires atypiques sont moins graves. Ils touchent la plupart du temps des jeunes filles qui, en apparence, ont un poids dans la norme, peut-être un peu trop mince ou en léger surpoids, mais rien de flagrant. Ces jeunes femmes suivent souvent une scolarité normale, avec une vie sociale et familiale normale également. Si, en apparence, tout va bien, elles sont terriblement préoccupées par ce qu’elles ingurgitent et vivent un calvaire.

Sophie Vust, psychologue et psychothérapeute à l’Unité multidisciplinaire de santé des adolescents au Centre hospitalier universitaire vaudois, explique ce qui déclenche ces troubles, comment ils sont pris en charge et quels sont les moyens de les prévenir.

Une personne qui a toujours vécu en Suisse, mais qui n'a pas eu 80 000 CHF. de salaire en moyenne, aura au minimum 1160 CHF par mois, mais pas le maximum de 2320 CHF. Mais l'AVS a prévu quelque chose pour que celles et ceux qui se sont occupés de leurs enfants aient une rente un peu plus élevée. Dans ce cas l'AVS considère que c'est comme si on a cotisé sur un revenu de 40 000 CHF, ce qui permet donc d'avoir un peu plus que la rente minimale. C'est ce qui s'appelle les bonifications pour tâche éducative.

Dans le cas d'une personne qui n'a jamais travaillé parce qu'il n'en avait pas envie et que l'autre conjoint rapportait suffisamment d'argent, la personne aura droit à la rente minimale de 1160CHF.