Que reste-t-il à sauver de notre sphère privée?
Mardi était la huitième journée internationale de la protection des données. Depuis les informations révélées par l'ancien informaticien de la NSA, Edward Snowden, le commun des mortels a pu constater l'ampleur des informations personnelles transmises à son insu. Il ne reste visiblement plus grand-chose à sauver de notre sphère privée, et la révolte fait place à la résignation. Par Jérôme Zimmermann, avec la réaction de Jacques Boschung, vice-président et responsable de la région Europe de l'Ouest d'EMC, société spécialisée dans les services de stockage et d'analyse des données informatiques pour grandes entreprises.