Le plus dur reste à faire pour nos randonneurs... [Benoît Aymon - RTS]

Tour du Cervin/4: Le coeur léger - Au fil des sons

L'émission du 26 avril 2013

Retrouvailles avec nos randonneurs du Tour de Cervin, à mi-parcours de leur périple. La petite troupe entame sa cinquième journée de marche, de la cabane de Moiry jusqu’à Arolla. Dans le deuxième reportage, gros plan sur une jeune harpiste pleine de vie qui trimballe son instrument de concerts en mariages, en passant par des cours d’éveil musical. Quant à la balade, elle nous mènera du côté de Romainmôtier, point de départ d’un itinéraire riche en curiosités, sur le sentier des fours à fer.

Tour du Cervin - Episode 4: Le coeur léger

Repos bien mérité. [RTS]A l’aube du cinquième jour de marche, les névés ont durci pendant la nuit et c’est une véritable patinoire qui prend nos randonneurs à froid. Où l’on découvre que le poids du passé pèse parfois plus lourd que le poids d’un sac. Rosemary s’accroche: elle sait pertinemment qu’elle est sur le point de franchir un cap, autant moralement que physiquement. Sophie, à son tour, va symboliquement vider son sac… De quoi se sentir plus léger pour affronter la suite. Et c’est tant mieux: le plus dur reste à faire!

Réalisation: Benoît Aymon et Pierre-Antoine Hiroz


 

Au fil des sons

Julia et son compagnon. [RTS]Julia Sallaberry est une jeune trentenaire musicienne et harpiste qui vit avec son compagnon à bord d’un voilier. Lequel jette son ancre au large ou s’arrête sur des places visiteurs des ports du Léman. Loin de l’image romantique qu’on peut se faire parfois d’une harpiste, elle dit de son métier qu’il s’apparente parfois plutôt à celui d’une déménageuse : son instrument pèse 45 kilos ! Elle le trimballe de concerts en mariages et autres festivités, car vivre de son art est difficile puisqu’il n’y a qu’un joueur de harpe par orchestre. Julia a créé une roulotte qui sillonne le canton de Genève pendant l’été dans laquelle elle donne des cours d’éveil musical à des enfants.

Un reportage de Béatrice Mohr

Tour du Cervin/4: "Le coeur léger"

Retrouvailles avec nos randonneurs du Tour de Cervin, à mi-parcours de leur périple. La petite troupe entame sa cinquième journée de marche, de la cabane de Moiry jusqu’à Arolla.

A l’aube du cinquième jour de marche, les névés ont durci pendant la nuit et c’est une véritable patinoire qui prend nos randonneurs à froid. Où l’on découvre que le poids du passé pèse parfois plus lourd que le poids d’un sac. Rosemary s’accroche: elle sait pertinemment qu’elle est sur le point de franchir un cap, autant moralement que physiquement. Sophie, à son tour, va symboliquement vider son sac… De quoi se sentir plus léger pour affronter la suite. Et c’est tant mieux: le plus dur reste à faire!

 

Réalisation: Benoît Aymon et Pierre-Antoine Hiroz

Au fil des sons

Julia Sallaberry est une jeune trentenaire musicienne et harpiste qui vit avec son compagnon à bord d’un voilier. Loin de l’image romantique qu’on peut se faire parfois d’une harpiste, elle dit de son métier qu’il s’apparente parfois plutôt à celui d’une déménageuse! Elle trimballe sa lourde harpe de concerts en mariages et autres festivités, car vivre de son art est difficile puisqu’il n’y a qu’un joueur de harpe par orchestre. Julia a créé une roulotte qui sillonne le canton de Genève pendant l’été dans laquelle elle donne des cours d’éveil musical à des enfants.

On vous emmène en bateau dans l’univers de Julia Sallaberry, une jeune femme, la trentaine, musicienne et harpiste qui vit avec son compagnon sur un voilier de 13 mètres quelque part au bord du lac Léman. Une habitation étroite mais pleine de charme, aménagée pour y vivre à l’année, qui jette son ancre au large ou s’arrête sur des places visiteur des ports du Léman.

Le voilier "La luge", habitation de la harpiste. [RTS]"Je suis en transition permanente", dit Julia Sallaberry, et visiblement, cette phrase correspond bien à son style de vie, à son dynamisme et sa joie de vivre qu’elle exprime en musique.
"Passe-moi les jumelles" se propose de la suivre dans ses déambulations, de cours en concerts et également alors qu’elle se rend du côté de Sainte-Croix où travaille le facteur de harpes, Gérard David. De quoi réaliser qu’une harpiste n’est certainement pas une jeune femme frêle, en longue robe, à l’allure romantique, car ce métier prend parfois plutôt l’apparence de celui d’une transporteuse, déménageuse, voire camionneuse… Il faut en effet savoir que son instrument pèse 45 kilos!

Julia et son compagnon Cédric sur leur voilier [RTS]Pour toute harpiste, vivre de son art est difficile, puisqu’il n’y a au maximum qu’un joueur de harpe par orchestre. C’est pourquoi, Julia a créé une roulotte qui sillonne le canton de Genève pendant l’été et s’arrête pour donner des cours d’éveil musical à des enfants de 5 à 12 ans. Elle joue également dans des mariages et autres festivités pour arrondir ses fins de mois.

Un reportage de Béatrice Mohr

En plus...

Tour du Cervin/4: Le coeur léger - Au fil des sons

Retrouvailles avec nos randonneurs du Tour de Cervin, à mi-parcours de leur périple. La petite troupe entame sa cinquième journée de marche, de la cabane de Moiry jusqu’à Arolla. Dans le deuxième reportage, gros plan sur une jeune harpiste pleine de vie qui trimballe son instrument de concerts en mariages, en passant par des cours d’éveil musical. Quant à la balade, elle nous mènera du côté de Romainmôtier, point de départ d’un itinéraire riche en curiosités, sur le sentier des fours à fer.

Tour du Cervin - Episode 4: Le coeur léger

Repos bien mérité. [RTS]A l’aube du cinquième jour de marche, les névés ont durci pendant la nuit et c’est une véritable patinoire qui prend nos randonneurs à froid. Où l’on découvre que le poids du passé pèse parfois plus lourd que le poids d’un sac. Rosemary s’accroche: elle sait pertinemment qu’elle est sur le point de franchir un cap, autant moralement que physiquement. Sophie, à son tour, va symboliquement vider son sac… De quoi se sentir plus léger pour affronter la suite. Et c’est tant mieux: le plus dur reste à faire!

Réalisation: Benoît Aymon et Pierre-Antoine Hiroz


 

Au fil des sons

Julia et son compagnon. [RTS]Julia Sallaberry est une jeune trentenaire musicienne et harpiste qui vit avec son compagnon à bord d’un voilier. Lequel jette son ancre au large ou s’arrête sur des places visiteurs des ports du Léman. Loin de l’image romantique qu’on peut se faire parfois d’une harpiste, elle dit de son métier qu’il s’apparente parfois plutôt à celui d’une déménageuse : son instrument pèse 45 kilos ! Elle le trimballe de concerts en mariages et autres festivités, car vivre de son art est difficile puisqu’il n’y a qu’un joueur de harpe par orchestre. Julia a créé une roulotte qui sillonne le canton de Genève pendant l’été dans laquelle elle donne des cours d’éveil musical à des enfants.

Un reportage de Béatrice Mohr