Aujourd'hui, certains tentent le divorce par Internet. Une bonne idée? [Laurent Bleuze - RTS/Laurent BLEUZE]

E-divorce: une rupture low-cost?

L'émission du 17 février 2015

Divorcer en trois mois et pour moins de 1000 francs ? C'est possible. A l'heure du tout internet où l'on peut se remettre en forme, soigner ses déprimes et rencontrer l'amour en ligne, on peut divorcer en quelques clics. En Suisse, une dizaine de sites propose le divorce par internet, pas cher et rapide. Des ruptures express qui ne nécessitent plus d'avocat. Comment ça marche?

L'e-divorce, un marché juteux

A une époque où 52% des unions se terminent par une séparation, le marché du divorce n'est pas négligeable. D'autant que la procédure peut coûter chère. Il faut compter 3000 CHF pour une rupture dans sa version la plus simple, lorsque les deux parties sont d'accord sur tout. Un chiffre qui peut s'envoler, avec les frais de justice et d'avocat, lorsqu'il y a litige. Certains ont senti le filon et proposent de divorcer en ligne pour des sommes défiant toute concurrence. Mais le divorce, bien que banalisé, reste une épreuve dans la majorité des cas. Et le web n'apporte malheureusement pas toutes les réponses.

Le divorce low-cost

Il est possible d'acheter son divorce sur Internet depuis quelques années. Simplicité, rapidité, prix attractifs, les offres sur la toile peuvent sembler alléchantes. Certains proposent un divorce pour moins de 800 CHF! Mais qu'obtient-on à ce prix?

L'e-divorce, le low-cost qui peut coûter cher

Les offres de divorce en ligne présentent quelques avantages. La démarche est rapide et, selon les sites, bien plus économique qu'un divorce conventionnel. Mais elles ont aussi leurs limites. Le couple doit faire le travail lui-même, parfois avec peu d'informations sur les droits et devoirs des deux parties. Le risque, en cas d'iniquité, est de ne pas pouvoir revenir sur le jugement une fois ce dernier prononcé. Et fait coquasse, des modèles de conventions de divorce et des conseils sont aussi proposés gratuitement sur la toile…

L'e-divorce: six offres en ligne évaluées

On trouve de tout sur le marché de l'e-divorce. En général, pour réaliser la convention de divorce, les couples doivent transmettre des informations via le site de l'entreprise. Ensuite, les choses peuvent varier. La convention peut être auto-générée par l’ordinateur, ou rédigée par un avocat. Certains services comprennent des aides et des conseils en ligne, par téléphone ou sur rendez-vous avec un avocat. A quoi faut-il prendre garde? Cette méthode est-elle possible en cas de litige? Et l'e-divorce est-il une solution dans les cas complexes de couples avec enfants ou possédant des biens?

L'e-divorce, la bonne solution pour divorcer pas cher? Le point avec Isabelle Nussbaum, journaliste à A Bon Entendeur

Notre rubrique: une rente viagère qui fond comme neige au soleil

En 1982, Marcel Gaille conclu un contrat de rente viagère. Il place une partie de son 2 pilier auprès de l'assurance Patria. En 1992, comme convenu dans le contrat, il touche sa première rentre trimestrielle. Elle s'élève alors à 1588 CHF. Cette somme est composée d'une rente de base, une rente de bonus et une rente liée aux excédents. En 2004, son assurance, entre-temps devenue partenaire de l’Helvetia, lui annonce par courrier une baisse de sa rente d'excédents. Une part qui ne cessera de fondre. Au final, sa rente globale aura diminué de 20%, l'assureur prétextant une baisse de rentabilité des marchés de capitaux. Un procédé légal, mais qui écœure notre retraité.

Helvetia baisse la part d’excédents de ses rentes malgré ses bénéfices. Une injustice ? Entretien avec M. Daniel Kissling,  responsable pour la région Romandie à Helvetia

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A une époque où 52% des unions se terminent par une séparation, le marché du divorce n'est pas négligeable. D'autant que la procédure peut coûter chère. Il faut compter 3000 CHF pour une rupture dans sa version la plus simple, lorsque les deux parties sont d'accord sur tout. Un chiffre qui peut s'envoler, avec les frais de justice et d'avocat, lorsqu'il y a litige. Certains ont senti le filon et proposent de divorcer en ligne pour des sommes défiant toute concurrence. Mais le divorce, bien que banalisé, reste une épreuve dans la majorité des cas. Et le web n'apporte malheureusement pas toutes les réponses.

L'e-divorce, un marché juteux [RTS]

Le divorce low-cost

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Le divorce low-cost [RTS]

L'e-divorce, le low-cost qui peut coûter cher

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