- La vie grâce aux robots - Antidopage : une nouvelle inquisition ?

L'émission du 20 février 2013

La vie grâce aux robots

Les progrès de la technologie et de la robotique permettent de compenser pas mal de handicaps, jusqu'à parfois faire mieux que la biologie elle-même. Témoignages et images saisissantes sur le couplage homme-machine-handicap.

Les pistes de recherches sur le couplage homme-machine-handicap sont variés et les résultats prometteur. [RTS]

Atteinte de sclérose en plaque à l’âge de 17 ans, Béatrice a peu à peu perdu l’usage de ses membres. Sa perte d’autonomie est en partie compensée par James, un fauteuil électrique faisant office d'"exosquelette". Il est équipé d’une série d’appareils que la jeune femme commande avec le menton et l’oreille.

Seul bémol, ces équipements sophistiqués sont coûteux. Et les assurances n'offrent pas toujours le meilleur appareil. Un étudiant qui, selon les assurances, doit passer sa journée assis dans des salles de cours n'aura pas besoin d'un matériel particulièrement solide et léger. Qui décide et comment?

Bonus de l'émission

Quelques années après 36.9°: s’évader de son corps

Kim Knébel souffre d’une maladie génétique rare qui atrophie ses muscles. Enfermée dans son corps, la jeune femme rêve de s’en évader.
36.9° l’avait rencontrée en 2013. 6 ans après, les technologies se sont miniaturisées et Kim a pu réaliser de grandes choses. Découvrez la suite de son histoire.

Chasse au dopage

Les scandales récents montrent que le combat antidopage est loin d'être efficace. Pourtant, les jeunes athlètes subissent une inquisition sans pardon, où la présomption d'innocence n'existe pas. Un système tout répressif qui ne protègera pas le sport amateur d'une généralisation des conduites dopantes.

Les scandales récents montrent que le combat antidopage est loin d 'être efficace. [RTS]

Depuis une dizaine d’années, les instances antidopage affirment mener une guerre sans pitié contre le dopage dans le sport professionnel. En Suisse, c’est l’Antidoping qui se charge de la plupart de ces contrôles. Des contrôles qui empiètent sur la vie privée des sportifs qui doivent annoncer sans cesse où ils se trouvent. Or les résultats ne sont pas significatifs. Si les sportifs professionnels passent au travers des mailles du filet, que dire des sportifs amateurs? Là aussi, la quête de la performance pousse certains vers les produits dopants. Mais dans leur cas, aucune information et presque aucuns contrôles. Et quid de la prévention?