Les vélos d'appartement: notre test
Le vélo d'appartement est un bon moyen de rester actif durant les longs mois d'hiver. Pas besoin d'affronter des températures peu clémentes pour se dépenser. Mais que valent-ils, ces vélos? Pour le savoir, nous avons fait tester huit modèles, parmi les plus courants vendus en grande surface, dans des magasins spécialisés ou sur internet. Ils ont été passés au crible par cinq experts :
Les vélos d'intérieur utilisés en clinique
Les vélos d'intérieur sont utilisés dans certains centres hospitaliers et cliniques, entre autre pour la réadaptation. Les équipements utilisés sont ici dans une gamme de prix autrement plus élevée que nos appareils testés. L'effort doit être régulier et maîtrisé. Et contrairement aux vélos d'appartement conventionnels qui captent nos données biométriques généralement par le guidon, ces institutions se servent d'électrodes. Les données récoltées sont ainsi beaucoup plus fiables.
Les bracelets connectés: essai de consommateur
En Suisse on estime que près de 50.000 personnes ont craqué pour un bracelet connecté. Ces petits objets relèvent de nombreuses données sur notre activité physique. Certains calculent aussi les calories dépensées, analysent notre sommeil ou enregistre notre rythme cardiaque. Mais que valent vraiment ces données? Nous avons comparé les valeurs relevées par 4 bracelets connectés les plus vendus parmi la quinzaine disponible sur le marché. Un même cobaye les a portés simultanément. Et certains résultats varient considérablement.
Où vont les données collectées par mon bracelet connecté?
Récolter des données sur soi-même à l’aide de capteurs est à la mode. On peut ainsi suivre son activité physique, ses dépenses caloriques, contrôler son rythme cardiaque, sa pression ou encore son sommeil. Mais où vont ces données très intimes? Peuvent-elles être vendues comme n'importe quelle marchandise?
Les données relevées par les bracelets connectés sont-elles fiables et en quoi sont-elles utiles? Le point avec le Prof. Kamiar Aminian, Laboratoire de mesure et d'analyse des mouvements (EPFL)
Notre rubrique: Rénovation lourde, locataires amers
Les locataires d'un immeuble vaudois sont pour le moins amers. Leur régie leur a annoncé de gros travaux de rénovation en novembre 2013, et en conséquence une hausse de loyer qui devrait atteindre 50 à 60%. Et la régie ne s'arrête pas là. Les travaux ont commencé en automne 2014 et , vu leur importance, ils génèrent pas mal de nuisances. Or, la régie refuse de considérer une baisse temporaire de loyer liée aux nuisances du chantier et ne propose pas de solution acceptable pour les locataires durant les travaux exécutés dans les appartements. Quels sont les droits de ces locataires?
Patrice Galland, administrateur délégué chez Galland et Cie SA répond à nos questions sur le plateau d’A Bon Entendeur.