Microbiote et psychisme
Pour traiter dépression, troubles anxieux ou hyperactivité, la recherche mise aujourd’hui sur le microbiote. Seul problème pour créer des traitements : chacun a un microbiote unique !...
"Ce qui m'a permis justement de sortir de cette période d'anxiété, c'est le fait de se dire : ma quête à moi, c'est planter des petites graines de conscience..."
En entrant à l'université, Matteo a vécu une crise profonde, une perte de sens. Pour trouver sa voie, il a consulté une psychologue spécialisée en orientation professionnelle.
"À l'heure actuelle, près d'un.e patient.e sur deux développe une anorexie mentale secondairement à une orthorexie, les plus fréquentes étant végétarisme, véganisme."
Aude est devenue végane pour des raisons de santé et par conscience écologique, mais elle a progressivement basculé dans l'anorexie.
"Inquiet pour l'avenir, bien sûr, mais la réponse que j'ai trouvée, c'est d'y penser le moins possible et de manière constructive."
Alexis, ingénieur EPF en énergie, a monté une coopérative de micro-maraîchage urbain sur les hauts de Lausanne pour agir, à son niveau, et lutter contre l'éco-anxiété.
De plus en plus de jeunes souffrent d’’éco-anxiété, une nouvelle forme d’angoisse liée à la crise climatique. Des psychothérapeutes réfléchissent à de nouvelles prises en charge pour cette pathologie, qui rappelle le traumatisme des victimes de violence ou d’accident.
ÉCO-ANXIÉTÉ - "Un enfant, ça engendre 58 tonnes de déchets par année"
Kim et Bettina ont fait le choix de ne pas avoir d'enfant pour protéger le climat. Un choix qui n'est pas toujours compris par l'entourage.
ECO-ANXIÉTÉ - Charlie est psychothérapeute et apprend à vivre avec la crise climatique.
Pour dépasser l'angoisse que créé la crise climatique, Charlie s'engage avec Doctors for XR.
ECO-ANXIÉTÉ - "Je contrôlais et je calculais tout ce que je mangeais"
Pour Cathleen et Alexia, la situation climatique est devenue une source d'angoisse.
A force de vouloir manger sain et écolo, Cathleen a développé un trouble alimentaire.
Les 2 soeurs racontent leur éco-anxiété.
Respirer est l’acte le plus nécessaire à la vie. Pourtant la pollution et le changement climatique menacent ce droit fondamental chez les plus fragiles, comme les allergiques et les asthmatiques. Alors pourquoi acceptons-nous un air pollué qui tue plus de 4000 personnes chaque année en Suisse ?
Comme beaucoup de jeunes de 15-30 ans, Pauline et Micaël craignent pour l'avenir de notre planète en raison de l'urgence climatique.
Pour combattre l'écoanxiété, ils ont décidé d'agir dans la rue, mais aussi dans les champs pour éviter le pire et donner un avenir à leur fille de 2 ans.
Notre santé dépend avant tout de ressources vitales de qualité. Mais le dérèglement climatique menace gravement ces ressources vitales, amène de nouveaux virus et met déjà en danger les plus fragiles d’entre nous. Une prise de conscience est indispensable avant qu’il ne soit trop tard.
"On nous explique qu'on va retirer du matériel. Et non un petit."
Céline Pauchard a vécu 3 pertes de grossesses. Le tabou autour des fausses couches l'a parfois fait se sentir seule et perdue face au deuil. Elle a co-fondé l'association Au Coeur des Mamans pour aider les femmes vivant des difficultés liées à la périnatalité.
"Non, les fausses couches ne sont pas rares."
Dr Isabelle Streuli, gynécologue spécialiste en médecine de la reproduction aux HUG répond aux principales questions que l'on se pose à propos des fausses couches.
"La clé c'est de s'adapter à la manière qu'ont les parents de vivre cette fausse couche."
Rencontre avec Dre Lamyae Benzakour médecin-adjointe responsable de la psychiatrie de liaison aux HUG, qui donne des clés aux proches pour accompagner les parents en deuil.
"Quand on tombe enceinte, on s'attend à avoir la vie, pas à faire un deuil."
Rencontre avec Anne Georges, qui nous raconte son histoire et revient sur les marques d'attention qu'elle aurait aimé recevoir de la part de ses proches.
Les maladies rares ne le sont finalement pas tant que ça. On en compte entre 6'000 et 8'000, représentant 20 à 25% de toutes les pathologies répertoriées. De 6% à 8% de la population mondiale serait donc concernée par ces pathologies. Alors pourquoi sont-elles si difficiles à soigner? Qu'attendent les chercheurs pour les étudier? Et pourquoi, lorsqu'ils sont développés, certains médicaments sont-ils hors de prix? Réponses dans ce dossier.
A l'heure où la pandémie mondiale monopolise toute l'attention, quelques 300 millions de personnes vivent avec des maladies dont on ne parle jamais ou presque, parce qu'elles sont dites "rares". On en recense plus de 6'000 et elles sont le plus souvent graves et invalidantes.
Entre errance diagnostique, absence de traitement ou traitements lourds, méconnaissance de la part des assurances et démarches sans fin pour obtenir de l’aide, les malades et leurs proches font face à bien des défis.
Dès le 28 février sur PLAY RTS, Facebook et Youtube.
Vos témoignages au temps du COVID-19.
Des réponses à vos questions!
Que sont devenues certaines figures et thématiques marquantes de 36.9°?
Sébastien Maillard a été victime des flammes il y a 19 ans. Brûlé à 92% de sa surface corporelle, ses chances de survie étaient minces.
Kim Knébel souffre d’une maladie génétique rare qui atrophie ses muscles. Enfermée dans son corps, la jeune femme rêve de s’en évader.
Yvette et Sébastien Vaudroz ont essayé d’avoir un second enfant. Après plusieurs fausses couches, c’est en Belgique qu’ils ont eu recours au diagnostic préimplatatoire. Cette pratique était interdite en Suisse, jusqu’en 2017 du moins.
En 2016, Sébastien Wittwer pesait près de 180 kilos. Un jour, le déclic se produit devant son miroir: "Je me suis vu tel que je suis, ça a été un gros choc."
Jérôme Bender a été victime d’un grave accident de moto qui l’a plongé plusieurs mois dans le coma. En 2015, 36.9° l’avait filmé aux soins intensifs où sa maman décidait de le maintenir en vie.
Solène Perruchoud et Bérangère Prongué sont phobiques. En 2014, impossible pour elles d’approcher une araignée sans hurler.
36.9° correspond à la température moyenne du corps quand il se trouve au calme et – en bonne santé – elle définit la santé comme une recherche permanente d'équilibre. Tout comme ce magazine santé de la RTS. Les problématiques sont abordées du point de vue du patient, en s’intéressant également aux dimensions affectives, sociales et économiques de son rapport à la santé. L’émission ne s'adresse pas aux professionnels de la santé mais au grand public.